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Vallefuoco Sara, Noir d’encre (Policier P-5 VA 341 n – 47.680)

 

1899. L'unité de l'Italie existe dans les cartes mais pas dans les cœurs. Ainsi, lorsque des carabiniers venus des quatre coins du pays sont envoyés en Sardaigne pour combattre le banditisme, personne ne leur vient en aide ni n’accepte de témoigner.

La nuit de la Saint Jean, le sauvetage d’un otage, un riche éleveur, tourne mal. L’otage est tué et un carabinier gravement blessé. Une série de meurtre s’ensuit. Le sous-brigadier turinois Ghibaudo et le brigadier romain Moretti sont chargés de l’affaire. Ce dernier est adepte d'une invention récente, la technique des empreintes digitales, tandis que Ghibaudo préfère procéder par le raisonnement, l’étude des mœurs des habitants, l’écoute des poètes al volo, sorte d’ancêtres des slameurs, qui mettent en scène les aspérités de la société.

Une enquête historique avec des bandits, des poètes, des lettres anonymes … et un hommage aux nombreux carabiniers qui luttèrent contre le banditisme de la fin du XIXe siècle.

 

Noir d’encre est le premier roman de l’italienne Sara Vallefuoco, professeur.

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