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Lallemand Alain, Ce que le fleuve doit à la plaine (Roman R-4 LA 435 c – 47.609)

 

Le fleuve, c’est Oleg, un descendant cosaque. Chaque matin, il se baigne dans son eau glacée. Il est guide équestre à Yalta. Il aime Myriam, une des sœurs Roudakova, d’origine italienne, qui cultivent la terre. La plaine, c’est Kash, le Tatar. Cavalier aussi, il la parcourt au galop. Il aime Nina, l’autre sœur Roudakova. Oleg et lui sont amis depuis 20 ans. La vie est belle, pleine de promesses.

Mais l’atmosphère change en Crimée, en ce début 2014. Il y a des morts tatars. Des « petits hommes verts bien polis » sont dans la ville, contrôlent  les centres névralgiques. Les Russes envahiraient-ils la Crimée ? Des milices prorusses patrouillent. Les Tatars manifestent, se souvenant de ce qu’ils vécurent sous Staline. Une sorte de peur diffuse s’installe. Les amitiés vont-elles pouvoir subsister dans ce monde en guerre larvée ? Les soeurs Roudakova ont peur pour leurs amants.

 

Alain Lallemand, reporter belge, a couvert l’invasion de la Crimée pour Le Soir.

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