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Iakhina Gouzel, Convoi pour Samarcande (Roman R-8 IA 488 c – 47.618)

 

Au début des années 1920, dans une Russie dévastée par la révo­lution et la guerre civile, la famine frappe certaines régions, dont le Tatarstan. Le gouvernement soviétique décide d’évacuer des enfants orphelins ou abandonnés, vers le Turkestan épargné. Un convoi part de Kazan pour Samarcande, un périple de 4 000 kilomètres à travers les forêts de la Volga, les steppes de l’Oural  et les déserts de l’Asie avec cinq cents enfants de 2 à 12 ans, affamés, affaiblis, traumatisés, parfois malades. Deïev, officier de l’Armée rouge, est chargé d’accompagner le convoi. Il va tenter de protéger les enfants, se battra avec son équipe plus ou moins dévouée ou récalcitrante afin d’obtenir la collaboration des caciques des villages traversés pour les nourrir et les soigner tout en s’irritant d’être en permanence contrôlé par une commissaire à l’enfance, déléguée par les autorités communistes.

 

Gouzel Iakhina, née à Kazan, s’est inspirée de faits réels pour écrire ce roman, comme pour Zouleikha ouvre les yeux

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