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Arditi Metin, Homme qui peignait les âmes (L’) (Roman – 46.428)

 

A Acre en 1079, Avner, jeune pêcheur juif livre du poisson à un monastère orthodoxe. Attiré par les chants liturgiques, il pénètre dans l’église et est littéralement ébloui par la beauté d’une icône. Il décide d’apprendre cette technique. Taisant son incrédulité – on ne peut écrire une icône qu’en ayant une foi profonde -, il se convertit et quitte sa famille. Avec Mansour, un marchand musulman, il traverse la région, s’installe au monastère de Mar Saba où œuvre l’élite des iconographes. Dix ans après, il est amené à le quitter n’acceptant plus les règles rigides qui l’empêchent de chanter la beauté de la création et la fraternité des trois religions du Livre. Plutôt que de représenter la part d’humain dans le Christ et les saints, Avner inversait la démarche, faisait surgir la part de divin enfouie en chacun. Il reprend la route avec Mansour et peint dorénavant des portraits de personnes ordinaires. Un scandale, un triomphe !

 

Metan Arditi, écrivain suisse d’origine turque, auteur, entre autres de : Le Turquetto, Carnaval noir, Prince d’orchestre … s’est inspiré d’un fait réel pour écrire cette fiction.

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