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Harpman Jacqueline, Moi qui n’ai pas connu les hommes (Roman R-4 HA 694 m – 48.447)

 

Elles sont quarante, enfermées dans une cave, sous la surveillance de gardiens impassibles. La plus jeune, la narratrice, n’a jamais vécu ailleurs. Si les autres femmes ne se rappellent pas comment elles sont arrivées là et n’ont aucune notion du temps, il leur reste un vague souvenir de leur vie d’avant, une vie où il y avait des maris, des enfants, des villes … qu’elles lui transmettent. Un jour, une alarme retentit et les gardes prennent la fuite. Les prisonnières s’évadent. Elles se retrouvent dans une immense plaine désertique, inhabitée, et sans la moindre idée de ce qui est arrivé au monde. Une longue errance à la recherche d’autres humains ou d’une explication, commence

Une fable dystopique contre le totalitarisme, le réchauffement climatique, la folie autocrate et meurtrière des hommes, de la fin de la civilisation, de l’extinction humaine …

 

Publié en 1995, ce roman de Jacqueline Harpman, écrivaine et psychanalyste belge, décédée en 2012, vient d’être réédité

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